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LE SPECTACLE
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L'ÉQUIPE
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CALENDRIER
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PRESSE
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PARTENAIRES
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CONTACTS
On ne peut pas faire rentrer n’importe qui à la maison.
Voilà ce que dit la loi.
Maddi aime Mamadou. Voilà ce que dit le cœur
Toute l'action se déroule dans une maison dans le Pays Basque.
PERSONNAGES
MADDI: Jeune fille basque. Amoureuse de Mamadou.
GOIO: Oncle débile de Maddi.
IMANOL: Frère de Goio. Oncle de Maddi.
AMAMA: Grand-mère de Maddi, mère de Goio et Imanol.
CALENDRIER
JANVIER
1 Luhuso
4 Gasteiz (Principal)
6 Azpeitia
7 Larresoro
11 Iruñea (NAE-ENT)
13 Zumaia
18 Bilbo (Arriaga)
20 Kultur Leioa
22 Durango
26 Donostia (Gazteszena)
27 Donostia (Gazteszena)
28 Donostia (Gazteszena)
29 Donostia (Gazteszena)
MARS
AVRIL
MAI
1 Aulesti
8 Ermua
9 Baigorri
15 Senpere
16 Galdakao
22 Zarautz
29 Bidarte
12 Andoain
19 Zornotza
21 Arrasate
26 Arrigorriaga
27 Donibane Lohitzune
1 Hernani
13 Errenteria
16 Eibar
18 Tolosa
19 Biarritz
6 Zumarraga
14 Bera
21 Maule
31 Bilbo.
DERNIÈRE REPRÉSENTATION!
NOVEMBRE
FÉVRIER
DÉCEMBRE
ARTEDRAMA
Irantzu Azpeitia
(+34) 94 607 25 72
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2015
2016
21 Santurtzi
22 Beasain
23 Gernika
24 Oñati
29 Basauri
30 Hendaia
5 Hazparne
11 Elorrio
12 Berriz
13 Markina-Xemein
ANDER LIPUS A PROPOS DE JON GEREDIAGA
Stanislavski a mis en scène les œuvres de Tchekov. Kantor celles de Witkiewitz. Et moi, celles de Gerediaga.
Et je l’ai appelé «Che», «Witki» ou «Holderlin» en plaisantant.
Mais, en plaisantant ou sérieusement, 15 années ont passé depuis que nous nous sommes connus et avons commencé à travailler ensemble. J’ai toujours été ému par sa façon d’écrire, par sa sensibilité, et que dire de la personne, l’ami Jon.
Un autre ami, Eusebio Calonge de «la Zaranda» m’avait dit un jour : «la poésie de Jon est belle, mais tu devrais l’obliger à écrire du théâtre, au besoin, le menacer. Je ne sais pas si lui a besoin du théâtre, mais le théâtre a besoin de lui.»
Après une pause de 5 ans, nous revenons faire du théâtre, avec la poésie.
En effet, qu’est-ce-que le théâtre, si ce n’est pas de la poésie en mouvement ?
JON GEREDIAGA A PROPOS DE ANDER LIPUS
Après avoir travaillé de nombreuses années avec Ander Lipus, voici que je cheminais loin du théâtre ces cinq dernières années ; fatigué de théâtre en quelque sorte, réfugié dans la langue de la poésie, simple et solitaire, éloigné d’Ander Lipus. Mais Iñigo Ibarra n’a jamais été très loin.
Ses inquiétudes ont aussi été mes inquiétudes durant ces dernières années : notre maison, nos cœurs, la loi, les valeurs.
Entrer dans un chantier de création avec Ander Lipus signifie quitter le confort de la maison et se mettre à transpirer, et arriver à jouer avec le sérieux des enfants. Et se mettre à fond au travail.
A grosso modo, les choses sont ainsi : Lipus ferme les yeux, puis peu à peu ou tout d’un coup, les images et les actions apparaissent sur la scène. Et alors, ce n’est pas difficile de se mettre d’accord : moi je dois mettre les mots, exactement là où lui place les images et les actions : en faveur des êtres humains, en faveur de la poésie
Maintenant que les joies et les peines d’Iñigo Ibarra sont aussi les miennes, le moment est venu de se mettre à fond au boulot avec Ander Lipus. Le moment de jouer pour de bon.